Jeune femme en mode cocooning, lisant un roman d’amour dans un fauteuil moelleux. Une scène douce et intime illustrant le pouvoir réconfortant de la lecture romantique.

Quand l’amour guérit : ce que les romances nous offrent, même en fiction

Il y a des jours où une histoire d’amour tombe à pic.
Des jours où l’on ne cherche pas à s’évader, mais à se raccrocher à quelque chose.
À un frisson.
À une promesse.
À un peu de lumière.

On dit souvent que la romance, c’est léger, “juste pour se distraire”.
Mais parfois, elle touche bien plus profond.
Parfois, elle guérit.

Jeune femme en mode cocooning, lisant un roman d’amour dans un fauteuil moelleux. Une scène douce et intime illustrant le pouvoir réconfortant de la lecture romantique.

Les blessures qu’on ne voit pas toujours

Les personnages que j’écris — et ceux que j’aime lire — ne sont jamais parfaits.
Ils traînent des valises, des peurs, des silences qu’on devine derrière un sourire.
Certains ont tout perdu. D’autres n’ont jamais osé croire qu’ils méritaient d’être aimés.
Ils avancent tant bien que mal… jusqu’à ce que l’amour entre dans leur vie.

Pas un amour magique.
Un amour qui fait mal parfois, qui résiste, qui tremble, qui s’apprend.
Mais un amour qui transforme.

L’amour comme acte de reconstruction

Quand deux personnages se trouvent, malgré leurs fêlures, quelque chose se passe.
On les regarde se dévoiler, s’ouvrir, faire tomber les murs.
Et on les regarde choisir d’aimer, alors même que ce n’était pas raisonnable.

Ce choix-là, cette tendresse-là, c’est ce qui fait toute la beauté de la romance.
Elle ne gomme pas les douleurs.
Elle les prend en compte.
Elle nous montre qu’on peut aimer, même abîmée. Qu’on peut être aimée, même en morceaux.

Ce que les romances font à nos cœurs

Quand on referme un roman d’amour, on n’a pas juste lu une histoire.
On a vibré.
On a eu les larmes aux yeux.
On a senti son cœur s’accélérer.

Et parfois, ça suffit à alléger un peu le poids qu’on portait.
Parfois, ça console.
Parfois, ça redonne envie.

Les romances nous rappellent que l’amour n’est pas un luxe, ni une faiblesse.
C’est un lien.
Une force.
Un moteur pour se relever.

Et moi, quand j’écris…

Quand j’écris une scène tendre après une rupture, un silence rompu, un regard qui avoue sans mot…
Je pense à vous.
Je pense à ce que ce passage pourrait évoquer.
Je pense à la lectrice qui, ce jour-là, n’avait besoin que d’une chose : un peu d’amour, même en fiction.

Et si mes personnages peuvent, eux aussi, vous aider à souffler, à rêver, à espérer… alors j’ai fait ma part.💕

💬 Vous aimez les histoires où deux êtres abîmés apprennent à s’aimer malgré les cicatrices ?
Dans Jared, il n’y a rien de simple.
Juste un homme en colère, une femme en reconstruction… et une attirance qui pourrait tout changer.
Peut-on aimer quand on ne sait plus comment se réparer ?

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